Trottoirs de bouffe
Quelle agitation ! Les gargotes ambulantes fleurissent sur les trottoirs. Avec la chaleur, les rues sont pleines d’odeurs de cuisine. Ils nettoient tout, tout le temps et on n’est bien incapables de mettre un nom sur les aliments. |
Chaos sur la Chao Phraya
On tente de trouver un peu de calme sur la Chao Phraya, le grand fleuve qui traverse la ville mais c’est peine perdue. Des sifflets aigus guident les manoeuvres du va-et-vient permanent des bateaux-bus. Les embarcations sont pleines a craquer et on se sert. A l’arriere, les moines ont une place reservee que l’on respecte.
Sur ses bords, des masures sur pilotis cotoient les marches et partagent la rive avec les Hilton ou autres palaces de luxe.
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Pas de centre-ville
Ce Venise asiatique n’a pas de centre-ville. Ses temples, palais ou sites historiques se melangent aux immeubles d’affaires et autres gratte-ciel de verre. Du gigantesque centre commercial SIAM aux marches de nuit et de week-end, chaque batisse a son autel pour venerer Bouddha.
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Pour se deplacer, on prend un Tuk-Tuk ou bien un taxi de couleur, mais c’est seulement dans le « Sky-train » qui surplombe la ville qu’on retrouve un semblant de calme.
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Immersion culturelle
On s’impregne de la religion et de la culture en visitant les « wats » (« temples » en thailandais), le Bouddha d’emeraude, le Bouddha couche, les palais royaux et le musee des barques royales...
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Nous allons meme assister a un match de boxe thailandaise. Mais ce qu’on prefere, ce sont les marches de nuit ou marches de week-end : bouffe, fringues, animaux. Tout s’y vend de l’ecureuil au serpent.
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Dimanche 19 mars 2006 : Logistique de depart
Comme on vient de renvoyer notre equipement d’hiver (6 kilos tout de meme !), on revoit un peu notre logistique. On range tout en trouvant de nouvelles places aux choses. On fait le plein de "repellent" et tee-shirts a manches longues contre les moustiques et le plein de creme solaire et Biafine. Un pneu de secours, de l’essence pour le rechaud. Une petite photo et on part de la chambre d’hotes. |
Le pays du sourire
Heureusement, Tum, la proprietaire, nous a prepare des petits papiers avec quelques mots usuels ecrits en thailandais comme : « Ou sont les toilettes ?», « Pouvons-nous planter la tente ? » Elle nous precise qu’avec le sourire, nous obtiendrons tout. |
On enfourche Akka pour la gare afin de quitter Bangkok sereinement. Le train contraste avec le modernisme des transports de la capitale, cependant ca a son charme. Ventilateurs au plafond, on roule portes et fenetres grandes ouvertes.
Nous arrivons a Lopburi de nuit. C’est la ville des singes pourtant nous n’en voyons pas la queue d’un... |
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